Bureau de recrutement

Une grande table couverte d ' un drap bleu et encadrée par des drapeaux bretons se dresse dans le Vestibule : le bureau de recrutement ... un sergent en grand uniforme est placé derrière , pret a vous renseigner .

Des affiches sont placées sur la table :

On recherche beaux hommes ...

Aventure et or a volonté ...

Votre meilleure chance de vous enrichir ...

Avis aux capitaines inexpérimentés désirant des amis pour les aider ...

Un encadré dans un coin , frappé des drapeaux Anglais , Espagnol et Hollandais

La légion étrangère est une flotte de la confrérie destinée a accueillir des étrangers désireux d ' entrer dans la confrérie , ceux ci peuvent si ils le désirent passer Francais et être alors intégrés dans les flottes de la confrérie .

Un Capitaine anglais dans un uniforme en partie déchiré et visiblement mouillé, entre d'un pas martial dans le bureau.

Il s'adresse au préoposé avec un fort accent anglais.

Bonjour messire, je viens faire suite au pigeon que j'ai reçu tantôt et m'informant que votre brotherhood recrutait même des english men. So, je me présente devant vous pour vous demander avec la humilité de bien vouloir accepter moi, ce qu'il reste de mes hommes ainsi que ma chaloupe au sein de votre groupe.
Nous serions ravis de devenir vos amis et heu... well .... j'ai toujours beaucoup apprécié Quimpert... if I may say so , sir.

Après 3 jours passés à attendre que le préposé lui adresse le moindre signe, le Capitaine Leeland, la barbe naissante, plia sa tente et la rangea soigneusement.

Salua militairement le préposé toujours figé et sorti en lançant
"Fuckin' french !!!"

Le préposé n' était qu' un mannequin, placé là pour faire ressortir les graces particulières de l' uniforme de Corsaire Breton...

Le tenant du Bureau, la capitaine Kernoch , arriva quelques minutes après le départ de l' Anglais, il venait du Conseil du Lys ou une polémique ardue l' avait retenu quatre jours...

Il courut après lui, espérant le rattraper...

Sir ! hey, sir !

Le Capitaine Leeland se retourna et toisa longuement son interlocuteur avant de lancer avec un certain dédain dû aux trois jours passés à attendre que le proposé daigne lui accordé la moindre attention

Yes, what can I do for you ?

Son interlocuteur était un jeune homme amène de 20 a 30 ans , vétu d ' un uniforme bleu foncé a passements d ' argent, a 5 hermines dorées sur ses galons bleus de roi, montrant son rang de Grand Amiral, il prit la parole dans un Anglais hésitant :

First, I apologise, I' m so sorry... mon retard... en fait j' ai été retenu quatre jours au Conseil du Lys par la préparation du nouveau plan d' actions coordonnées, ainsi que l' autre tenant de ce poste, Jacques de Ploubalay, qui est secrétaire adjoint du Conseil du Lys, je suis absoluement désolé, sorry... euh...

... Voilà, j' ai entendu dire que vous étiez intéressé par la proposition qui vous avait été faite de joindre la Légion étrangère de la confrérie, voulez vous toujours l' intégrer, avec rang d' amiral ?
Cette légion est composée des volontaires d' autres nations que la Francaise désirant servir sous notre drapeau, elle est indépendante des autres actions de la confrérie, sous les ordres directs de son amiral.
Mais attention, les Corsaires Bretons sont une confrérie Francaise, c' est a dire que, même si nous désirons vivre en amitié avec les Anglais, voire même s' y allier, pour combattre l' ennemi espagnol, nous sommes Francais et combattons pour la France, quelque soient nos origines (il y a des bataves d' origine dans la confrérie) et le drapeau flottant a notre mat.

Si ces conditions vous conviennent, capitaine, les Corsaires Bretons seront très honorés d' accueillir le très honorable Sir Mattew Leeland dans leurs rangs !

Well, Amiral, je vous avoue que votre proposition me séduit. Le grade d'Amiral dites vous ? n'y a-t-il donc personne dans votre légion étrangère que vous désiriez en confier le commandement à un parfait inconnu ?

Et bien,.... j'accepte.

Sir Leeland s'avanca main tendue.


Par où dois-je commencer ?

Vous avez deviné, sir, la légion étrangère est vide pour le moment mais je compte bien qu'elle se remplisse par les nouveaux arrivants que je recrute, vous aurez comme celà des hommes à diriger et à instruire !
Elle se remplie et se vide régulièrement au gré des nouveaux arrivants.
Vous me semblez gentilhomme monsieur, et votre style est du plus haut raffinement, aussi je ne doute pas de vos capacités pour diriger une flotte...
Par contre autant vous le dire dès maintenant, nous attaquons fréquement des anglais qui sont, à cause de la guerre qui oppose nos deux rois, nos ennemis. Evidement, celà n'empêche pas votre venue parmis nous qui sommes assez indépendants de l'opinion des rois.

Pour la suite, il suffit que vous postuliez à notre confrérie, je vous remettrai alors votre grade d'amiral de la légion étrangère...

Well, merci Amiral... hum ... comment dois je faire pour .. postuler dans votre confrérie .. ?

Eh bien... vous signez ici...

Il il lui montra un formulaire orné du pavillon Britannique et du drapeau Breton...

[hrp] vous vous connectez sur votre compte Corsaires, vous allez sur l' onglet confrérie, vous choisissez les Corsaires Bretons dans la liste, vous cliquez sur le bouton postuler.[/hrp]

[hrp] merci, j'y ai été mais j'ai rien vu.... bon j'y retourne, je devais pas être très réveillé [/hrp]

La légion étrangère est une flotte de la confrérie destinée a accueillir des étrangers désireux d ' entrer dans la confrérie , ceux ci peuvent si ils le désirent passer Francais et être alors intégrés dans les flottes de la confrérie

An de Grâce 1609, 11 décembre, 11h07
Candidature à la confrérie "La Casa Velasquez"


Moi, don GUTTIEREZ de la CASA,j'ai préte serment et honneur, confié à nostre el rey y hespana, mes fils et ma fille en gage de reconnaissance et ainsi confié en ses bonnes mains toute ma lignée pour défendre l' honneur de notre pays, et accessoirement ceux de nos alliés.
Aussi, je revendique comme un tres grand honneur de pouvoir m' asseoir à votre table et vous parler d' égaus à égaux en tant que noble espagnol.
gloire à dieu et à notre rey